Regards sur l'éveil
Café philosophique, littéraire et
scientifique
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Posté du 9
novembre 2005 au 4 décembre 2007 par ponkhâ
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Juste là
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Etat de veille, juste bien relaxé (sans
l'aide
d'aucune substance) et après m'avoir perdu dans l'équation simple,
moi-non moi...
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Respirer, respirer !, je reprend mon souffle. J'avais tant besoin
d'air...me voilà sorti d'une apnée trop profonde.
Une pierre tombale c'est abattue.
D'un son effroyable, sec, percutant elle ma scellé.
La peur c'est interposé, elle m'a exhorté de me retourner.
J'ai tremblé de tout mon corps, frissons d'éffroi, une pierre
lapidaire* s'est abattue.
Tel un parfait geôlier, elle m'a empêché de "m'envoler".
Mais j'ai fuis, j'ai fuis ! Mon Dieu comme un lâche j'ai fuis, je me
suis retourné.
Tu était là ! de tout mon être j'aurai pu te toucher,
m' effondrer en toi comme dans un trou noir, et j'ai fuis !
A peine je t'ai effleuré, qu'elle était là !
Peur, tellement impétueuse, tellement saisissante, qu'elle m'emporte de
ma révélation, de ma nature véritable.
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Quand a savoir "a quoi je me suis privé" c'est trop confus en moi pour
y mettre des mots.
Entre mes idées et ce que j'ai pu pré sentier c'est trop désordonné.
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la réponse qui me surgit instantanément,
moi.
Le gardien du seuil c'est moi !
Et là j' interprète ; La partie en moi inconnue, mon coté caché,
inconscient,
mes illusions, mes peurs, celle du néant, de mourir, de lâcher ce que
je suis.
Comment puis-je m'anéantir si c'est tout ce que suis. Comment m'
affranchir de cette idée, de cette croyance que je peux survivre a ma
mort et que l' unique chemin pour me gracier est de vivre ma mort
J'arrive pas !
Mourir de "je suis " et dans "ma chair ", car mourir de "ma chair
"avec "je suis ", c'est ce retrouver sans ce reconnaître, n'est ce pas
?
J'en sais rien et ça au moins je le sais. Je sais que je sais
rien. (quel bêtise cette phrase !) Celui qui la trouvé il devait
tourner en rond ce jour là, et oui tout comme moi aujourd'hui !
Comment fait 'on pour sauter dans le vide. Comment accepter l'idée
de disparaître, de prendre ce risque sans retenue ? Voilà mon seuil ou
il était...
Et puis l'on disparaît pas n' est ce pas ! pleins de témoignages
l'attestent ! Cela ce passe si bien, tout d'un coup au détour d'une
promenade..., dans un laissé aller magique...
C'est témoignages merveilleux, il font naître en moi l'écho de...de
quoi en fait ?, la magnificence, le pais des merveilles, Dieu existe,
j' était Dieu, l'amour de tout,... !?
Déchirure profonde, gouffre, abîme. La béatitude est là, partout
elle pénétrerai chaque atome de l'espace ou je vis et je reste aveugle
a tout cela !
Qu'ils se taisent a tout jamais ! les mots sont morts, j' entend la
mort. Vous voyez mais je suis aveugle, vous entendez mais je suis
sourd. Pourquoi me faire mal a vous entendre raconter ce que je vois
pas !
Oh ! pardon, mais bien sûr , c'est la vie ! vous témoignez de la
vie. Je veux vous écouter encore et encore et encore et...Je veux être
las de vous entendre, je veux que la réalité que vous m'évoquez me
lasse, elle me sorte de partout. Oui bien sûr c'est ça, cela me crie
tellement fort ! et il ne me restera rien, dans ma solitude, dans mon
silence, dans mon abandon, là, je me retrouverai, je vous retrouverai,
l'on se retrouvera ? c'est comme ça dite moi ?
Je tâtonne, j'essaye, j'aime la vie, mon entourage. Ma nature quand
elle est lâchée, débridée, elle inclus Tout, ce concept est un bonheur,
c'est la chose la plus spirituelle qui soi, Tout inclure.
Bien sûr dans l'action et l'attention de chaque moment qui s'en fait
témoin.
Faux ! encore illusions!, l'amour est un mot, l'amour est oubli,
l'amour est néant, rien.
Et après...si c'est rien, alors c'est tout ! ?
Mais je suis
aveugle, je suis sourd, paralysé
dans le temps. Je ne peux qu'imaginer, que languir de cette danse, de
ces chants. Je souffre, l'écho m'est souffrance.
Si Dieu est amour, s'il est Tout, s'il danse avec des chants
magnifiques et glorieux. Alors qu'il s'oublie, qu'il laisse ses chants.
Que Dieu ce détourne de sa gloire car s'il est Tout il ne peut laisser
une seule partie de lui dans la souffrance. Et s'il le fait, n'est t'
il pas un égotiste, plus encore que l' ego lui même, car celui-ci c'est
ça nature, mais Dieu..., peut' il étaler sa gloire, s'émerveiller de sa
nature et en même temps ne pas ressentir la souffrance que cela
engendre en ceux qui sont oubliés en Lui !?
Bien sûr si Dieu redevient aveugle pourra t' il conduire un aveugle.
alors le témoignage c'est tout ce qu'il lui reste ?
Mes propos pourraient laisser croire que les témoignages de "éveil" je
les trouve négatifs.
Mais tout au contraire, ils sont tout au tant comme des doux rêves et
l'espoir d'une réalité éprouvée.
C'est juste cela que si maladroitement j'essaye de dire, ce sont des
doux rêves et espoirs.
Un écho..., entre celui-ci et sa réalisation, souffrances et joies, le
limon de ma vie.
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Ce geste est l'instant précis ou notre
dualité
bascule de l'un a l'autre, entre deux respirations, entre deux
battement de coeur, entre.... C'est l'instant du choix. De la chute et
de l'illusion ou l'instant de l'Amour et du miracle de la vie. Choisir
d'exhaler l'instant suivant en choisissant l' Amour, c'est tout le jeu
et l'enjeu de la création. C'est un geste de foi et de total confiance,
un geste d'amour.
Dans un paroxysme c'est le geste de la croix, abandon suprême a son
créateur. Enveloppé entre chacun de ses bras, l'un du passé, l'autre du
futur, les deux protégeant sa Créature dans ici et maintenant.
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Tes mots comme beaucoup de ceux ceux que
j'ai pu
rencontrer au travers de ma quête, évoquent en moi ce qui est le
fondement même de cette quête.
L'impression tellement forte et "folle " d'être dans un mauvais
rêve et de ne pas pouvoir me réveiller car l'envie même de m'en
réveiller m'en empêche !
Manifestement comme tu le décrit dans ton récit, j'en suis arrivé
a être tellement fatigué de chercher, que je constate que je n'ai pas
avancé d'un pouce ! et pourtant, ce pouce pourrait être le seul symbole
de cette quête, vu qu'il ma tout le temps accompagné !
Tu
vois que je ne me raconte pas d'histoires, ma quête je ne fait que l'
anticiper sans pouvoir l' attraper !
Au point ou j'en suis arrivé, il n'y a que la face de Dieu qui puisse
m' apaiser ou me reconcilier !
Il est temps pour moi d'abandonner, de m' abandonner...je sais pas, on
verra.. d' ou jailli la lumière. |
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Le Soi est le Soi et a aucun instant nous
n'avons été séparés, il n'y a que le Soi. Cela est bien beau de le dire
ok, il existe des milliers de mots d'érudits qui en parlent divinement,
ok!
Le Soi est ici pour vivre son inconscience dans son film la vie,
de temps, en temps entre un entracte ou autres, ouaaouh ! sacré
cinéaste !!
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Rien peut-il saiair quelque chose ?
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On peut l'appeler comme on veux, être
conscient
ou pas conscient, toute réalisation, tout devenir est a la base un
espoir, ou désespoir (j'ai omis ce dernièr!). Tout comme la fin est a
la base un début :wink:
Rien peut-il saisir quelque chose ? L'ego est ce rien, ou plutôt l'idée
qu'en se fait de l'ego est quelque chose.
Avec d'autres mots, laisse toi aller a tout ce qui survient de toi ou
de l'ego s'il faut nommer une source.
Se laisser aller a tout ce qui surgit en nous, est l'expression même du
Soi.
Le laisser-aller n'est pas une question de choix, on ne se dit pas
à un moment donné, je vais me laisser aller ou je me résous à avoir
confiance, ce n'est pas une décision intellectuelle. Le laisser-aller,
la confiance,...etc, nous ne pouvons pas aller les chercher, nous ne
pouvons qu'ouvrir notre fenêtre intérieure afin d'accueillir cela.
La fenêtre s'ouvre dès lors que tu vois ce qui est là et que tu
l'acceptes.
Voir ce phénomène, ce qui est là, le voir en profondeur sans
chercher a le fuir, à résister ou à le juger. Apporte la lumière et
avec elle aucun conflit ne peut lui résister, aucun problème ne survit
à la présence.
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joaquim
a écrit: |
Mais de même que l'ego s'infiltre partout et est capable de tout
retourner à son profit, de même ce
qui est pénètre tout et est capable de briller à travers
n'importe quoi, y compris les pensées produites par l'ego. |
Cette phrase ma littéralement "sauté au visage " mais seulement a sa
relecture. Je n'ai fait que la remanier
et transposer tel que ci-dessous ce qui ma fortement interpellé. Ce que
sa sous-entend a peut-être échappé a une seule personne (deux avec
moi), c'est pour ce seul motif que je la remet hors son contexte
initial.
«ce qui est,
pénètre l'ego et brille en s'infiltrant partout et retournant tout à
son profit»
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s., cela me gêne presque de te dire cela,
mais l'éveil au point ou nous en sommes, est accessoire ou est
l'accessoire. Ceux qui sont derrière tous ces mots sont l'essence même
de la réalité, l'éveil devient une mascarade, un paravent quand il ne
tient pas conte de l'essence même qui en fait sa légitimité.
C'est de nous donc il s'agit !. Je te concède encore, qu'en live
on aurai déjà certainement passé l'éponge, car on aurait trouvé la
faille en la bonne volonté qui nous aurait rapproché. Les yeux dans les
yeux et avec la sincérité dans le coeur, il n'y a que les insensés qui
peuvent encore rester indifférents.
Ce forum est dans un sens magique, car il ne s'agit pas simplement
de dialoguer sur l'éveil. L'intention même devient le centre de nos
débats et le ciment qui construit nos échanges. Redoutable et
magnifique catalyseur de réalité !
Pour cela je vous apprécie tous tout autant. |
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Je ne peux mi résoudre, l'ego et le mental,
comment les récuser s'ils sont vécus et ressenti, et s'il sont
illusion, alors cela ne peut être que vrai illusion, car comment
définir le vrai du faux si non par la perception de ce qui est perçu.
Et comment ce qui est nommé, ne peux pas exister s'il est nommé, qui se
crée pour se renier? absurdité !
Je m'abandonne en l'acceptation et je lâche prise en la plénitude, car
la logique ne me siée guère, mais elle fait ma réalité. |
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Quand nous sommes au cinéma, l'on admet
facilement ce moment comme une projection d'une réalité (ou d'une
fiction) évoqué sur un écran et avec des sons. Qui passe son temps au
ciné a ce dire, c'est qu'un film et bien dérisoire tout cela, en fait
je perd mon temps devant ce spectacle, car la réalité est tout autre?
Je connais personne dans ces dispositions en voyant un film ! L'on
va pour se laisser aller, se prendre au jeu, se détendre et passer un
moment ou justement la réalité avant et après film est oublié grâce au
film, et à sa "réalité superposée".
Et pourtant cette attitude que l'on prête si volontairement au
film, quand il s'agit de jouer notre propre rôle, dans le décor de la
vie, c'est fini, tout devient compliqué, on s'accuse des pires mots et
l'on s'empêche d'être soi même car c'est tellement plus important de
trouver la réalité ou d'être dans la réalité de l'Être. Que l'on vient
à accuser la pensée, l'ego, le moi des pires dispositions.
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Dieu peut-il exister sans moi ? Qui c'est
celui qui peut concevoir quelque chose existant hors d'en soi ?
Même mes mots qui affirmeraient que quelque chose existe en dehors de
moi, sortent de moi et non le contraire.
Dieu, l'autre, l'altérité existent que parce que je suis. Ils
peuvent devenir, être, se faire, potentiel, imaginaire, illusion, tout
autre ou réalité. Mais inexorablement ils sont, simplement parce que je
suis.
Est-ce que pour moi, quelque chose peut-il exister en dehors de moi ?
Et vous, existez-vous en dehors de vous ?
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Oui j'ai omis de préciser que la
description de
l'enfant et de l'adulte que j'ai apporté me correspondaient, et je
dirais encore que le rapport entre l'enfance et l'adulte est toujours
en action. Non pas uniquement dans l'approche et le contact au monde
avec les différents sens, mais dans ce qui découle de ce contact, la
découverte de la conscience.
J'ai souvenir d'être sorti à un certain moment d'un paradis, je
parle symboliquement bien sûr ! "L'enfer" c'est crée dès que les
fausses auto-identifications sont apparues, les pourquoi, la pensée,
ont projeté hors, ce qui était une pure joie d'être, où la découverte
insouciance était la seule raison d'être. Je peux situer ce moment vers
l'âge de six, sept ans.
Si ce que j'ai été a une signification, c'est simplement parce
que aujourd'hui je suis, et c'est depuis ce seul point que
l'authenticité de "ma vie" apparaît. L'enfant que j'ai été et sa pureté
d'être est toujours là, et aujourd'hui c'est la confiance et la foi que
j'accorde en cet enfant qui la font ressurgir. A chaque foi que je
m'émerveille, que je contemple quelque chose ou être de ce monde, et
sans apporter une quelconque étiquette, c'est cette pureté d'enfant qui
ce manifeste. Et cette vision je ne la conçois plus comme mienne, c'est
comme un regard où l'identité c'est évaporé dans ce qui est contemplé.
C'est une des raisons pour laquelle cette question sur l'ouverture
du coeur m'interpelle, et surtout dans son rapport entre moi pensant et
moi conscient. Il me semble que si le le coeur rapproche, c'est qu'il
est Un, et que cette unité est nommée et qualifié par la personnalité
qui en fait, son coeur. Je ne vois pas qu'elle autre aide valable
puisse être apportée à l'humanité, au monde, que celle qui vise son
propre état. Le seul en soi qui existe et par le quelle le monde trouve
sa manifestation.
Pour les questions touchant à l'évolutionnisme et à la survie,
elles ne réclament plus trop de mon intérêt, elles se situent dans cet
"enfer" si logique, parfait et rationnel qui assèchent ma joie d'être.
Pour le reste et au quotidien je fais avec le bon sens, chaque
situation apporte une approche qui lui est propre et dont j'essaye de
découvrir et de vivre en laissant de côté mon bagage d'à priori et de
principes.
Je ne dis pas que le chemin est encore long, car jusqu' où peut-il
aller si non là où il se trouve à chaque pas !
Je dis juste que je ne sais pas grand chose, mais que je fais toujours
prétention de le savoir.
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J'ai rencontré Thierry Vissac lors d'une
conférence et après pendant un atelier d'une journée entière. Lors de
cette journée je suis arrivé stressé et essoufflé (bien malgré moi),
environ 50minutes après l'horaire prévu. Dès l'instant où je me suis
assis dans la pièce avec les autre participants, cela à fait comme un
soufflé qui descend d'un coup, plus de stress ni d'essoufflement mais
tout le contraire, cela m'a bien marqué car c'était la première fois
(et la seule à ce jour) où j'ai ainsi passé en quelques secondes d'un
état de contrariété et de stress à un état totalement calme et détendu
(il va s'en dire en parfaite lucidité)
Plus que les mots et le contenu de ce qui c'est dit cette journée,
qui était un dialogue en commun et avec Thierry sur ce que chacun y
apportait. Ce qui m'a surtout marqué c'est qu'a chaque fois que
j'entamais un dialogue avec Thierry et après seulement quelques
minutes, tout d'un coup je réalisais que les autres participants ainsi
que l'environnement autour de moi avaient complètement disparu, que mon
identité s'absorbait dans ce qu' il et je disait et que dans cette
lisière où je me sentais disparaître, là, je me reprenais et de suite
la machine à penser et à analyser ce remettait en marche. Ce qui est
drôle c'est que Thierry s'en rendait compte et qu'il m'interpellait en
disant, reste avec moi là! Si je m'ancrais tout de même dans mes
pensées, il me (nous) dirigeait vers notre ressenti du moment.
Chacun était là avec ses interrogations et son
vécu en partage. Je n'ai pas cherché à le piéger ou trouver une
question difficile ou autre, par contre c'est vrai que même si j'étais
détendu pendant cette journée, j'ai gardé un oeil critique où
j'observais ses moindres gestuelles ainsi que ses propos et ceci
jusqu'à la fin. (Avec le recul je dirais que ce n'était pas la
meilleure façon de profiter d'une tel rencontre)
Je n'ai rien trouvé à redire, pas de bafouillages, de paroles
reprises ou un quelconque manque de clarté. C'est aussi quelque chose
qui m'avais marqué, il prenait souvent une courte pause avant de parler
et ensuite, ça jaillissait comme spontanément, avec des mots simples et
d'une parfaite cohérence. Quelque chose de particulier qui m'avait
aussi frappé, en réponse ou en dialogue avec un autre des participants,
je ressentais ses mots comme s'ils s'adressaient à moi même, je
m'identifiais dans mon vécu et expérience sur ce qu'il racontais à une
autre personne.
Plus tard j'ai fait tout seul le point sur mes échanges avec
Thierry, ce que j'ai relevé c'est que j'avais en face de moi une tel
écoute, une tel présence, où chacun de mes mots, où chaque geste
émanant de moi était accueilli tel quel et sans aucun jugement, sans
aucune intention. Une écoute qui se fessait parfait accueil de ce que
j'étais au moment même où je m'exprimais.
J'ai juste un bémol de cette journée où plutôt quelque chose qu'à
ce jour je n'ai pas encore compris. Lors des différentes pauses de la
journée (journée de 9h30 à 22h00!) il ne se joignait pas à nous mais
allait s'isoler à l'étage de la maison. Par contre il nous demandait
qu'entre nous les participants nous discutions ensemble sans nous
isoler.
A ma connaissance aucun bouquin d'un quelconque être réalisé n'a
cette faculté d'accueillir, tout au plus il peut rappeler en nous cette
ouverture. Le contact direct avec un être dépourvu d'ego, est en somme
comme se regarder soi même dans un miroir parfaitement net, où l'image
renvoyé de nous est aussi dépourvue d'ego. J'ai lu par la suite l'un de ses bouquin (il préconisait le
contraire) et j'ai rien trouvé dans celui-ci quelque chose du
personnage que j'avais rencontré en direct. J'ai même trouvé que
c'était assez creux et décousu et pour tout vous dire inintéressant.
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