[daniel]

Bonjour tout le monde !

Voici un petit article qui parle de la migration des oiseaux !

La réponse se trouve au cœur du génome de ces volatiles. Génération après génération, hirondelles, cigognes ou colibris ont inscrit dans leurs gènes un plan de vol. Tout y est : temps de vol, durée des étapes, nombre de kilomètres à parcourir et... date de départ.

Pour ce dernier paramètre, les oiseaux se réfèrent à la durée d'ensoleillement journalier. Chaque nuit, ils sécrètent une hormone : la mélatonine, qui rythme également chez l'humain les rythmes nuit-jour. Et quand la quantité a dépassé un certain seuil, ils savent qu'il est temps de préparer le grand départ.

Une phase d'agitation migratoire précède le départ

"Une fois le signal perçu, le volatile ne migre pas immédiatement", explique Maxime Zucca, naturaliste pour Natureparif et auteur de La Migration des oiseaux. "Il entre dans un état d'excitation migratoire : le zugunruhe. Durant quelques jours, ses hormones vont accélérer sa machine digestive, et cette hyperphagie va lui permettre d'accumuler les réserves nécessaires à son long voyage."

Le festin peut durer jusqu'à deux semaines pour les oies. Cependant, les oiseaux d'une même population peuvent différer leur départ d'une année sur l'autre. "D'autres paramètres entrent en jeu : la pression atmosphérique, la température... Une tempête, par exemple, peut reporter la migration de plusieurs jours."

—B.C.

[Alain V]

Tout est relié à tout, et il n'y a pas, sur le terrain des causes et des effets, celui justement qu'étudie la science, de liberté totale, pour qui que ce soit.
À partir du moment où on ne peut pas formuler la notion de liberté....la question ne se pose pas.
Justement l'homme - par un étrange mystére - en est capable. Et c'est justement a partir de cette capacité de formulation que commence son probleme.
L'homme est une '' bizarrerie '',un non sens, par rapport à l'univers matériel, ou tout, par ailleurs, fonctionne parfaitement selon ses règles.

[daniel]

En tout cas, aucun être vivant aime être attaché, et donc, privé de liberté, dans un premier temps, puis il accepte, il s'y résout ...

[Alain V]