[rien]

coucou a tous ;

un ptit moment de détente


ps / appuyer sur traduction c'est en français

https://www.youtube.com/watch?v=Jnamvv51v6c
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une croix , chacun la sienne et dieu pour tous .
a lire symboliquement , bisous bisous et reste là;

[boubou]

[Fleur de Soi]

C'est très simple, nous sommes compliqués.
Les scenarii que l'on joue à se faire paraître sont d'une complexité à toute épreuve. Il s'agit d'un Tout, la totalité de nous-même est concernée.

Nous sommes si faibles, si ignorants de nous-mêmes que lorsque l'on cherche le Soi, on ne sait pas à quoi il correspond. Nous voyons bien que quelque-chose ne va pas, mais quoi ?

Moi ? Ah non, je suis intelligent, cela n'est pas envisageable.
Les autres ? Ah oui, euh sont stupides, c'est de leur faute si je souffre.
Et si ce ne sont pas les autres, c'est le monde, mais de toute manière pas moi.

Suis-je alors coupable ? Ai-je commis une faute ? Absolument pas. Nous ne nous voyons pas, nous n'avons pas conscience de ce que nous faisons. Nous sommes victimes, mais de nous-mêmes.

Lors de l'éveil rien ne nous juge ni nous condamne, mais nous sommes le chouchou préféré de la nouvelle conscience. Nous n'avons pas à être pardonnés, nous n'avons pas délibérément commis un quelconque crime, il s'agit de moi qui fait souffrir moi.

L'éveil est paradoxal. Il est d'une simplicité pour l'esprit, il est un impossible pour moi.

Si nous étions réellement "savants", pas besoin d'éveil. Mais comme nous sommes savants, éveil trop compliqué pour nos facultés cérébrales.

Compliqué ? Oui, pour moi.

Lorsque la conscience "supérieure" a le droit de s'exprimer, tout est si facile. Mais ma sapience affirme déjà à priori de considérer que l'égo est supérieur. Il n'y a donc rien de supérieur.

Qui cherche
Qui "sait"
Qui veut
Qui refuse
Qui désire

Abandonner ce "qui" n'aboutit pas à "ne plus être", mais il faut commencer par y croire.

Soi n'est pas un mot. Soi n'est pas une légende. Soi n'est pas "quelque-chose" qu'il faut trouver. Soi est une inexistence pour la conscience relative qui m'est si précieuse. Soi est une connaissance absolue du "moi". "Moi" n'en veut pas. Soi n'est pas flatteur, il est joie et bonheur. Pas de problème, "moi" a remplacé le bonheur par le plaisir.

La sagesse, l'humilité, voilà l'outil, mais refuser pouvoir "devenir" l'équivalent de Dieu est aussi s'empêcher de "devenir", tout simplement.
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...