[manira]

Lorsque l’on envoie quelqu’un à notre place , c’est qu’on donne , à cette personne , toute notre confiance .
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Une envolée d'oiseaux, que c'est beau....

[Fleur de Soi]

AAhhh la confiance... voilà encore un univers... à elle seule.

J'ignore là, s'il est quelque chose d'aussi fragile que la confiance.
Un être se fait prendre au piège de son prédateur... une seule fois.
Alors s'il y a méfiance, cela est bien compréhensible... il n'y aura pas de seconde chance.

Il n'y a pas de "coup d'essai", soit elle est préservée, soit elle est trahie, une fois, une seule fois... et alors la reconstruire est bien difficile.

C'est comme le respect. Il se mérite, mais reste aussi friable qu'une poignée de sable.

Ma p'tite femme lit un livre actuellement sur la guérison des cinq blessures.

S'y trouvent entre-autres la trahison et l'humiliation.

Il semble que ces blessures restent purulentes et douloureuses jusqu'au jour du pardon.
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[ma-ni-ra]

Ces p’tites femmes…
Bénie soit-elle

[Fleur de Soi]

Ce titre "il brille par son absence" est très... parlant.

Lorsque j'entends que d'aucuns voudraient faire démonstration de son existence...

Faire démonstration de ce qui n'est plus là... il eut fallu alors faire démonstration de ce qui était... avant...

C'est comme vouloir démontrer ce qui génère un paradoxe, il faudrait toujours démonter l'inverse de la démonstration, ce qui serait intrinsèquement démonstratif, mais toujours l'inverse de lui-même.
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[manira]

Fleur de Soi:

« 
Faire démonstration de ce qui n'est plus là... il eut fallu alors faire démonstration de ce qui était... avant... « 


Ne dit -on pas «  aller de l’avant «  par en avant
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Une envolée d'oiseaux, que c'est beau....

[Fleur de Soi]

La voilà... cette richesse qui me pousse à être en votre compagnie.

Hier avec cette fille qui termine ses études nous avons conversé deux heures durant. Son mémoire sur les coupures d'alimentation en électricité est truffé de richesses.

Ainsi elle dit que c'est lorsque l'on perd "ce confort" que l'on constate alors le confort que nous avions, mais que nous nous plaignons parce que ce lorsque ce confort est là, nous n'en avons pas conscience.

Lorsqu'il est dit que la science est dans l'erreur par perpétuelle incomplétude, il ne s'agit pas de critiquer la science, il s'agit de l'expérience personnelle.

"Je" dit des sottises parce que mon expérience, mes savoirs, mes connaissances sont une goutte d'eau, mais tout ce que "je" ignore, est un océan.

Ce qui me passionne est bien plus ce qui n'est pas là, ce que je ne vois pas, que ce qui est là, et donc il y a curiosité de tout, je voudrais savoir "tout".

Et je réalise que cela m'est impossible, tout comme la conscience ne peut être conscience que s'il y a inconscience, générer de la conscience ne peut se faire autrement qu'avec de l'inconscience.

Tout comme "qu'est-ce qui a précédé" au big bang, qu'est-ce qui a généré ce qui a généré l'univers...

Ces instants de clairvoyance semblaient pourtant contenir toutes les réponses

Il faut savoir que "je", moi, n'a rien de "plus" que quiconque.
Cela est en chacun de nous et donc il n'y a pas de jalousie ou frustration à avoir.

Que cela soit dit...
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[Alain V]

[Fleur de Soi]

Eh bien oui, j'ignore pourquoi cela est ainsi, mais... cela est ainsi.

Le forum s'articule autour d'un phénomène intrinsèque qui, et cela n'est qu'un avis personnel, peut se produire lorsque "celui qui se trouve être utilisateur de cet organe cérébral... en a marre... de cet organe cérébral, autant dire...

LUI-MÊME.

Rien n'a changé, cet organe (moi) n'est pas plus intelligent, il a vu qu'il y a possibilité de vivre autrement... cet organe.
Voilà ce qui est paradoxal là dedans, cet organe ne connaît pas l'envie de se suicider.
Lorsque cet organe est prêt à "se" suicider se produit peut-être un phénomène salvateur intrinsèque.

S'il devait y avoir une certaine jalousie pour cet phénomène, alors il y a tout autant jalousie pour ce qui l'a généré... une envie profonde, vraie, intrinsèque de "tuer l'organe".

Cette envie n'y est plus, car "celui qui générait cette envie" (moi)... n'est plus là. Il s'appelait "Philippe", et s'est vu "jeté", mis hors d'état de nuire... à lui-même.

Philippe était une image dans un miroir, et il devait se conformer, mais surtout se "con"- "former"... se donner forme stupide qui devait correspondre à ce qu'il attendait... de lui-même pour plaire... à autrui.

Certaines "fonctionnalités" dans cet organe ne sont plus là, et cette image est absente. Je n'y peux rien, l'organe s'est modifié alors que j'étais "en activité" en pleine journée, comme si l'on devait couper un fil électrique d'un ordinateur pendant son fonctionnement, cela devrait je crois l'affecter très légèrement, non ?

Celui qui voudrait "le phénomène"... qu'il prenne aussi "ma vie".

Il y a l'impression d'un nouveau-né... dans un corps qui est "plus vieux que son âge". Meurtri, broyé, concassé.
Je est comme un enfant... dans un corps usé.

Il y a vision d'une vie gâchée, une vie et un "vivant qui est passé à côté".

Cette présence ici n'est pas la première. Vu que la métempsychose, "on" en parle déjà, il n'y a pas là de révélation, mais il ne peut en être dit davantage.

Cette vie a peut-être été "celle de trop", mais il y a fatigue.
Pas une envie d'en finir, mais que cela cesse.
Éreinté et fatigué je suis. "Je" n'en peut plus.

Qu'ai-je à venir le confesser ici ? "Je"... l'ignore. Peut-être simplement informer ? Cela ne change rien.

Ce phénomène change tout de par sa propre nature, il met "hors d'état de nuire à soi même", mais ne change rien, Soi est absolu, il ne saurait changer, il ne connaît pas le relatif, le contraste, il ne peut pas se voir modifié, de par sa nature d'absolu.
Ce qui est absolu est perpétuellement "égal à lui même". Un nombre peut être positif ou négatif, mais dans l'absolu, sa valeur absolue ne connaît ni positif ni négatif, tout comme Soi ne connaît ni état "positif" ou état "négatif", il est "neutre" et se dit "juste" car... neutre. Neutralisé.

"Cela est juste et bon" ne dit que "cela" sans devoir dire "juste et bon".

Il n'y a pas "un choix" de déclarer "alea jacta est", que vienne ce qui vient, cela est inclus dans l'expression, cela est "inclusif".
Alea jacta est... se dit "pour lui-même".

Beaucoup d'humains se comparent à l'autre, ils n'ont que cela, le relationnel, le "relatif" et donc le jugement.

Dans l'absolution, il y a recherche de ce qui pourrait être "le fondement du jugement"... il n'est plus là.

Tout devient factuel.

Mon chef dit "tu te tais et tu fais ce que l'on te dit".
Alors "je" commence par appliquer et "se" tait. Il "se" tait lui-même. Et si celui qui joue le chef fonce dans le mur, il "se" fera mal... à lui-même.
Le "guide spirituel" (pas de grande révélation ici non plus) te laisse faire, tu as le libre arbitre, et si tu vas dans le mur, c'est à force d'y aller que tu finiras par apprendre.
Cela peut paraître cruel, mais il semble que ce soit pour le "borné" le seul moyen de comprendre
Après tout, la souffrance et la douleur ne sont pas là pour rien... elles auront toujours le dernier mot... te dépassent, te neutralisent.

Le "destructif" peut aussi être "constructif", mais il devra l'apprendre... à ses dépens.
Il n'y a pas d'injustice là dedans, il "se" fait mal, et c'est lui qui en souffre.

Il est "une seule et même chose", il est "Un, Seul... et Même".

Je peux me passer du "moi", je ne puis me passer de vous.
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[daniel]

L'important, maintenant, c'est de s'asseoir , de souffler, un bon coup, de sourire à la Vie, à l'amour de sa vie, à son fils et de boire une bonne jatte de café avec un morceau de gâteau !

[Cédric]

Pour moi ce sera un thé. Je suis dans une phase thé.

[daniel]

Faut imaginer que ce sont des jattes !?

[Fleur de Soi]

Yolloooo

La jatte est là.

Oui, se poser Daniel. Le "repos du guerrier".

IL y a eu suffisamment de combat... contre moi-même.

Les "deux" ont déposé les armes, les deux ont déposé les larmes.

Voilà que tout devient beau, simple et clair... en harmonie.

Cela fait un moment qu'elle passe en boucle, voilà que j'en découvre le titre.

https://www.youtube.com/watch?v=iOrKM0EWFkg&list=RDCMUC2Ay4-dBr0227m3pXEQkwlw&index=2
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...