[daniel]

Bonjour tout le monde !

Voici une vidéo de David Ciussi, qui connaît l'éveil et nous le fait partager !

Tout ce qui est vu et sera vu de la Réalité, jusqu'à la mort du corps, le sera à travers la présence du corps, celui-ci apparaît et disparaît en Soi ... et pourtant, c'est Soi qui perçoit Soi, pure présence, comme dit, je pense, David Ciussi !

https://youtu.be/arQ8ZQpbH3Q

Son site :

https://www.davidciussi.com/dans-les-sentiers-avec-david-ciussi

[Fleur de Soi]

Tout comme ce que vit Daniel, non ?

De par ses nombreuses lectures, ma femme entend qu'il y a quelque chose, un message qui n'est pas "ce qui est lu".
Il lui est dit : "il y a un gustatif, un olfactif, un auditif, un toucher, une vision"... qui voit, sent, goûte, entend, touche ?

Réponse : ah oui, c'est "moi".

Il lui manque juste le sixième sens, mais elle voit, elle sent bien qu'il y a quelque chose de plus "profond"... lorsqu'elle dit "moi".

Juste une petite parenthèse Daniel : lorsque tu vis un phénomène, comme être Soi, si tu reprends la place de ce qui observe celui qui vit le phénomène, tu 'es plus dans le phénomène, tu es "en marge".
Lorsque tu es dans la dimension astrale, si tu te places en position d'observateur de "celui qui est dedans", tu viens de t'éjecter, et ce que tu observes alors n'est plus "être dedans", mais l'observation à partir d'une position qui n'est plus "dedans".
Je vois l'astral comme "une pénétration" de l'une de tes dimensions intrinsèques. C'est là une faculté que tous n'ont pas.
Comme dit Sadhguru, on passe son temps à se dire "n'être qu'un être humain", mais comme manira, il dit aussi : "cela révèle combien cette piètre image de soi n'est... qu'une image que l'on crée soi-même, d'un être qui se connaît très mal".
Il n'y a pas là une illusion, mais cela peut être perçu ainsi par le fait de s'en extraire.
N'oublie pas que lorsque tu "reviens", au moment auquel tu en fais le constat, cela "est déjà", et donc le constat se fait "après", toujours "après".
Tu te trouves toujours là où tu es déjà... cela est perpétuel.
Tu y es, et tu t'y trouves.
Autorise-toi à être l’illimité, l'image que tu te fais de toi est très "en-deça" de tes qualités, de tes facultés, du tout ce que tu te trouves être.

Tu peux même "jeter" l'image, cela ne change rien à cette totalité que tu es, même si tu en doutes.

je lis souvent un Daniel bien au delà de l'image qu'il a de lui-même, il est peut-être le seul... à "se réfuter" ?

Nul, et surtout pas à l'école, là où ils font le contraire, l'inverse, ne t'apprend à t'apprendre.

Ce n'est pas... "tendance", dans "l'air du temps".

Être "Daniel" en tant qu'être libre... voilà une expérience à côté de laquelle, j'en suis persuadé, Daniel n'a certainement pas envie de passer.

Cette liberté tu y es déjà, et c'est ce qui fait qu'elle n'est pas perceptible.
Être tu es déjà, et c'est ce qui rend l'Être imperceptible.

Nietzsche dit "la vérité n'existe pas", il est "dit" nihiliste.
En disant "nihiliste", ils déclarent déjà que pour eux... la vérité existe par leurs mensonges.
Pourquoi mensonge ?
Tout simple : le nihilisme est la création de ce qui n'existe pas... le nihilisme. L'égo du... "rien". Tout comme l'icône de Dieu pour laquelle ils se font la guerre.

Si l'on est véritable et sincère, il n'y a pas de vérité ni de sincérité.
Étienne Klein : "le temps n'existe pas... pour le temps".
Si l'on demande à Étienne ce qu'est l'éveil, en bon scientifique, et comme Einstein, il dira : "l'éveil n'existe pas... pour l'éveillé", Dieu n'existe pas, pour "le divin".

Comme dit Lao Tseu, c'est la création de l'idée (le savoir) d'un bien qui donne l'idée (le savoir) d'un mal. Et cela sera ton perpétuel tourment...

Si l'on ne ressent aucun "bien" à faire du "mal", si le bien est privilégié, qu'il n'y a que s'octroyer le "bien-être", le "mal-être" disparaît, et il n'y a plus ni "bien-être" ni "mal-être".

L'Être... n'existe pas... pour ce qui "Est".
Daniel "Est" et n'existe de Daniel... que l'image de Daniel par la vision de Daniel par Daniel... lui-même.

Bonjour... Messire Daniel... l'Authentique.

Daniel peut changer l'image de Daniel... il sera toujours et perpétuellement... les mots (l'image) qu'il dit de lui-même, mais Daniel... EST le mot.

"Je suis... le mot".

Allah est grand ?

Allah est une substitution à tout ce qui peut "se nommer".

Daniel... est grand.
Et cela est déjà blasphème... car Daniel est bien grand, mais grand est déjà une image, et Daniel est plus grand que l'image... d'où Daniel est grand.

Être "Grand"... est incomparé. Un absolu.

Daniel est infini ? Non. Daniel est "plus grand que l'infini".
Ceci n'est pas une flatterie, ceci est l'illimité.

Illimité... n'existe pas, pour ce qui n'a nulle limite... l'Être, conscience.

Dis-moi donc mon bon Daniel... où commence ta conscience.
Si tu trouves son "commencement", alors tu trouves... ses limites.
Elles s'étendront perpétuellement infiniment au-delà d'elles-mêmes.

Bon courage si tu la cherches... tu n'as pas... "fini".
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[Alain V]

Je dirais pour ma part que la conscience ne commence nulle part, si on la pense en termes de relations, et qu' elle commence à notre naissance, si on la pense en termes de phénomènes.
" Ma " conscience est une forme de localisation dont je suis le sujet.
En réalité elle dépasse le sujet que " je " suis.
C' est pour cette raison que la naissance et la mort n' existent que pour " moi ", forme localisée dans l' espace temps ... mais n' existe pas pour " moi ", conscience d' ètre en présence.
En tant que " moi " temporel, " ma " conscience " est " bien au delà du tissu de relations qui me permettent d' exister, de même que l' élément / objet biologique qu' est " mon " cerveau existe relationnellement bien au delà du simple objet biologique.
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" Le réel c' est quand on se cogne " Lacan

" la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissent pas et qui se massacrent au profit d'hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas ".
Paul Valery

[Fleur de Soi]

Les pieds bien sur terre... la tête dans les nuages


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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[Alain V]

C' est ça 👍🏻

Concernant " ce que je dis " j' ai abandonné depuis longtemps l' idée d' une exactitude- ou pire encore- pour moi - une exactitude inébranlable- ... je me contente d' avancer des idées, comme en peinture, fidèle aux impressionnistes, je note des impressions ... sauf qu' en peinture on perçoit une globalité à la fin du tableau, tandis que pour l ' existence il faut une vie entière.
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" Le réel c' est quand on se cogne " Lacan

" la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissent pas et qui se massacrent au profit d'hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas ".
Paul Valery

[Loganj]

Bonjour à chacun :

J'ai entendu dire ou écrire que " l'éveillé " ne doit jamais en faire mention ... pourquoi parce que cela démontrerait qu'il ne l'est pas et que c'est un charlatan .
Mais comment reconnaître alors un éveillé si on ne l'est pas soi-même ? C'est absurde . De ce fait l'éveillé ne peut être reconnu que par un maître, sauf que si cette personne n'a pas de maître ni d'entourage ecclésiastique elle demeurera dans l'anonymat ce qui serait plutôt ennuyeux pour cette personne .

Donc oui c'est sûr l'éveillé ne doit le dire à personne ça c'est véridique mais totalement absurde .
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La vie n'est réelle que lorsque je suis .

[Fleur de Soi]

Perceval pêche sans hameçon.

"Vous voyez, sire (Roi Arthur), j'ai compris le sens de ce que je fais, je me confronte... à l'absurdité".

"Perds-toi, n'existe plus, meurs, et le secret se révèlera... au prix de ce que tu as de plus cher".
Ceci n'a pas été lu dans un livre, pas besoin, ceci est apparent.

L'égyptien de l'antiquité ne "sait", et cela, l'égyptologie le dit... l'égyptien ne "connaît pas" Pi (3,14...).

L'égyptien s'en fou... Pi est déjà dans le rapport entre la circonférence et le diamètre, il est déjà inclus... pas besoin de le "savoir", il l'utilise partout, mais jamais il n'écrit ou "extrait" Pi du cercle.

Nietzsche exècre le penseur grec car il est au fondement de "la perte d’Éden".

Le grec donne naissance à "science". Ou "science" naît, prend naissance à l'époque grecque (l'Un est l'Autre)... la Genèse.

[Alain V]

Cette conscience réflexive nous pose beaucoup de problèmes.
" Savoir que je suis " est perçu comme une perte de la pureté, presque un état pervers, dérivé de la forme juste : savoir sans savoir.

Tant qu' on conservera ce complexe de culpabilité, ce sera très difficile d' accepter notre réalité humaine, je pense ...
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" Le réel c' est quand on se cogne " Lacan

" la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissent pas et qui se massacrent au profit d'hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas ".
Paul Valery

[Fleur de Soi]

Tu dis bien Alain.

Accepter, admettre, se fait dans ce lâcher-prise.

Je puis réfuter être faible, cela n'est que mensonge que je me fais à moi-même.

Il ne faut pas aller bien loin pour en faire constat.

Nous "nous" plaignons. Non seulement du constat, mais nous avons aussi besoin de quelqu'un à qui nous plaindre : un confesseur. Et nous allons donc "à la confesse", pour nous évader de nous-mêmes, soulager nos consciences. Heureusement tu peux réciter trois "Notre Père" et dix "Je vous salue Marie", et tes péchés sont pardonnés.

Aurélien Barraut exprime sans argumentation. Les arguments sont là, ils parlent pour lui. Il ne dit pas des choses qu'il invente, il dit ce qui se révèle dans des faits.

Ces "grands patrons", tout "grands patrons" qu'ils sont, sont comme des enfants qui vont pleurer dans les jupes de leur maman.
Un "confesseur" appelé juge est là pour entendre leur plainte.

"Maman, le monsieur il arrête pas de dire que je suis méchant".

Ils ne se plaignent pas de ce que dit Aurélien, ça, ils s'en foutent. Ce qui les agace, c'est "le harcèlement moral".

Il n'y a pas eu harcèlement moral, Aurélien n'est pas "partout" jusque dans leur chambre à coucher à leur répéter sans cesse son message, ce qui les harcèle, c'est le fait que "leur" avantage soit "ailleurs" et qu'il n'ont aucun argument à opposer à Aurélien.
Ils peuvent, eux aussi, réfuter la réalité, mais le harcèlement est dans le constat qu'ils se font "mensonge à eux-mêmes".

... le poids de leur conscience... voilà ce qui les harcèle.

A quel point sommes-nous "confesseurs" qui entendent les plaintes ?

A quel point chaque jour j'entends de la complainte, des "j'en ai marre", "je n'en peux plus", "je suis fatigué"...

Et puis tout à coup cela monte au niveau méta, ce n'est plus que j'en ai marre, mais que j'en ai marre... d'en avoir marre.

Il se peut alors qu'un phénomène de conscience "se" produise.

Si un autre t'insupporte, tu peux "mettre ds distances".
Mais lorsque l'autre est "je"....
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[Alain V]

Difficile de faire de ma conscience, une amie ...

On l' aimerait fidèle mais elle peut nous trahir
On l' aimerait sincère mais elle peut nous jouer des tours
On l' aimerait claire mais elle peut nous embrouiller
...

On peut compter nos amis véritables sur les doigts de la main ...pas tous les doigts.

C' est dans les moments difficiles qu' ils ( elles ) se révèlent.
C' est dans ces moments là que beaucoup de nos pseudos ami ( e )s s' évaporent.
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" Le réel c' est quand on se cogne " Lacan

" la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissent pas et qui se massacrent au profit d'hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas ".
Paul Valery

[Loganj]

Bonjour Alain :

Ce n'est pas la conscience qui bloque c'est l' ego ...
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La vie n'est réelle que lorsque je suis .

[Fleur de Soi]

Je suis mon meilleur ennemi... combat égal.

Pour le samouraï, le plus beau des combats, car ils finiront bien par déposer les armes... sans vaincu... mais UN vainqueur.

Et que la lumière fut...
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[Loganj]

Non tu n'est pas ton meilleur ennemi mais ton meilleur ami.
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La vie n'est réelle que lorsque je suis .

[Fleur de Soi]

LE vainqueur.

Assieds-toi... regarde... contemple.

Tu peux désespérer en regardant l'ombre.

Il n'y a plus d'ombre là où pénètre la lumière.

Sadhguru dit vrai... la naissance n'arrête jamais de naître.
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...

[Fleur de Soi]

A peine il y a libération qu'il y a enfermement dans une prison... plus grande.

Jusqu'à ce que la libération devient plus grande que la prison.

Un vécu... parmi tant d'autres.
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Je vis une grande expérience, sans science, car l'expérience... c'est Moi.
Cet homme est un étranger...