Regards sur l'éveil
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Philophile
Inscrit le: 07 Avr 2020 Messages: 124
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Posté le: Lu 16 Déc 2024 12:33 Sujet du message: La singularité |
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Bonjour petite luciole Parasamgate,
Voilà un exercice difficile car je suis médiocre dans la datation des événements. Cela s'est produit un peu avant mon apparition sur le forum qui s'est faite suite au vécu de ces événements
S'il n'y avait pas l'entourage, je ne saurais même pas le "jour de mon anniversaire".
Mon inscription : 07 avril 2020.
Mais les événement se sont faits durant l'été qui a précédé.
Le titre, lui, s'il s'agit de la lecture, c'est "Par delà bien et mal" publié en 1886, bien avant l'idéologie du nazisme Hitlérien. Un nazisme dont l'idéologie n'a pas d'âge, vu que l'idéologie est atemporelle.
D'après les médiums, Adolf Hitler fait partie désormais d'un conseil de grands sages.
C'est apparemment dans le détachement à l'idéologie que Nietzsche connaît le séparatisme d'un Wagner (compositeur) sous influence.
C'est apparemment dans le détachement à l'idéologie que Carl Gustav Jung connaît le séparatisme d'un Freud.
Beaucoup disent être imperméables à Nietzsche. Et Nietzsche le sait, "il ne trouve pas d'oreilles, il le dit lui-même".
Ils sont surtout dans l'idéologie de se croire dénués d'idéal auquel ils s'accrochent. Ils préfèrent déjà à l'avance, dans leur propre précédence, se refuser être tels qu'ils sont. Par convenance, par "bien pensance", pour "l'ordre nouveau" qui n'est encore et toujours qu'un idéal.
Kairos tient à sa liberté de pensée et la défend bec et ongles, c'est en cela qu'il semble "agressif", mais je sais que Kairos est aussi d'un grand calme lorsqu'on le laisse en paix avec lui-même.
Lorsque l'humain est en paix, il érige déjà ses châteaux "forts" sachant même dans son ignorance du fait, qu'il est toujours sous le joug d'une possible menace de son "frère ennemi".
Action... réaction... c'est physique
Oui, les expulsions du corps et la connexion à l'au-delà se font dans moult circonstances. Une femme témoigne du fait qu'elle se voit être violée par son psychologue mais ne vit pas "elle-même" l'événement. Le corps oui, mais elle est là au dessus et seul le corps "subit".
Nicolas, lui, c'est plutôt l'ennui à l'école lorsqu'il était enfant.
Nicolas aussi est persuadé qu'il en va ainsi pour tout le monde, il lui faudra le "relatif comparé" pour faire constat qu'il n'en est rien.
Kairos est un cas singulier, comme manira est un cas singulier, comme Jean-Marc est un cas singulier, ainsi chacun(e) est "un cas singulier".
Le cas singulier de l'égoïsme n'est pas facile à vivre lui non plus.
Même lorsque l'on parle de la pluie et du beau temps, ils ramènent tout à eux et se sentent perpétuellement "visés". Ils l'expriment par : "c'est pour moi que tu dis ça" ? Déjà sur la défensive, ils sont déjà sur le chemin de ronde avec leur arbalète, prêts à décocher.
Je me trouve être penseur, cela me caractérise, pour moi il n'y a pas d'overthinking, je suis juste, juste tel que je suis.
Lorsqu'il y a "un nœud", une énigme, je ne trouve pas le sommeil, et il se peut que je tourne 15 jours durant autour d'une table sans le réaliser. Pour moi, il y a 5 minutes, pour mon entourage, 15 jours.
Mais il me faudra "résoudre" l'énigme, dénouer le nœud avant de trouver le repos.
Dans cette lecture de Nietzsche "je me suis reconnu", comme une paréidolie d'une singularité, d'une unicité.
Il y a des opposants, des conformistes, des collaborateurs, des idéalistes, des activistes, des pouvoirs et contre-pouvoirs.
Pouvoir et contre-pouvoir reste et demeure "pouvoir". Révolution française pour faire la même chose par contre pouvoir réactionnaire, action et réaction de force égale.
On coupe des têtes pour en mettre d'autres déjà corrompues.
Ce qui est parti et semble laisser un espace vide, c'est ce qui a été balayé, oublié, celui que je ne suis pas et qui est tout ce que l'on m'a dit, un mensonge involontaire, mais un mensonge car non en concordance.
Il est dit "admettre ce qui Est", mais cela peut tout autant être "ne plus admettre ce qui n'Est pas".
Je suis plutôt, disons, participatif.
Ils veulent se prendre le mur et exigent que j'y participe ?
J'amplifie le mouvement par exagération de leurs sottises, j'y ajoute la pulsion, le "moteur qui propulse donnant encore plus d'élan et d'énergie".
L'on me dit "vicieux" pour cela.
Mes élèves pilotes, je les laissais faire la faute, je n'intervenais que juste avant cet instant auquel il serait trop tard pour rattraper. Au-delà de cette limite, nous serions blessés voire morts.
Mais il est une chose qui s'est toujours démontrée, jamais plus ils ne faisaient cette faute par la suite. Ils sont tombés, ils se sont relevés, ils ont repris la route et y sont arrivés, là où ils voulaient arriver.
Contrairement à mes collègues, je ne criais jamais sur mes élèves. Inutile.
Ils apprenaient par eux-mêmes et m'en ont toujours remercié.
Il s'agit de LEUR expérience qui se construit petit à petit.
Ils apprenaient à se connaître, à connaître les limites, à connaître leurs limites. A connaître la beauté du vol de l'oiseau, la liberté tridimensionnelle au milieu des nuages, comme ils ont appris à marcher.
Ne rien interdire, ne rien forcer, laisser faire.
Je ne connais aucun incapable, il suffit de les laisser faire leur propre apprentissage. Mais pour cela, il faut vivre des expériences, et aussi l'expérience du fait même de le vivre. La vie est une formidable expérience (et là je pleure, car pleurer est une expérience nouvelle pour moi, cela m'était interdit, comme le rire).
Lorsque mes collègues me disaient : "celui-là (celle-là), sans espoir, il (elle) est mieux fait(e) pour aller à la pêche".
Voilà un cas pour moi pensais-je. Justement, c'est l'occasion de la "repêche".
Bien souvent ils appliquaient des réflexes inculqués par leur instructeur en "théorie". Des "il faut faire ceci, il faut faire cela".
NON, non, et non.
Alors on reprenait ensemble depuis le début, et tout à coup, ils se réalisaient, ce sont eux (elles) qui se construisaient. C'était si beau à contempler de les voir s'épanouir.
Je n'avais RIEN à leur apprendre, je n'ai rien à vous apprendre.
Tout devenait spontané, inné, tout était déjà là en eux, ils étaient leur instructeur et leur élève disciple d'eux-même. Je leur faisait jouer à "Top gun" : "vas-y, suis la cible, l'autre planeur là et ne le lâche pas. Ils ne se rendaient même pas compte combien leur vol devenait naturel et simplement parfait, ils apprenaient sans "avoir à" apprendre.
Alors tout à coup je leur disait : "alors, qu'en penses-tu, de ton toi instructeur ?"
Ils me répondaient : "c'est le meilleur, l'élève a tout compris".
Ils devenaient "le meilleur d'eux-même", des vrais petits Nietzsche en puissance, dans l'application même de tout ce que dit Nietzsche.
"La puissance de l'intention"... de Nietzsche.
Aussi, petite luciole... envole-toi. _________________ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. |
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Philophile
Inscrit le: 07 Avr 2020 Messages: 124
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Posté le: Lu 16 Déc 2024 12:38 Sujet du message: |
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Parasamgate a écrit: | Bonjour singularité Philophile,
connaissez-vous cette singularité Dr. Jill Bolte Taylor? neuroanatomiste ayant fait un AVC cerveau gauche ayant dû vivre uniquement avec le cerveau droit. Elle a établi 4 personnages (2 par cerveau).
Avec cet AVC elle a connu l'éveil. Voici une interview de Emmanuelle Errera:
https://youtu.be/EqOVRf2jZSw?si=ODZrugYj2ADUY-q4 |
Nous voilà dans une autre antichambre... "la singularité"
Je ne connais pas, mais je vais visionner.
J'y reviens après la découverte....
échangeons... et... changeons _________________ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. |
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Philophile
Inscrit le: 07 Avr 2020 Messages: 124
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Posté le: Lu 16 Déc 2024 14:34 Sujet du message: |
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Voilà, je "vois" et "entends".
Je ne puis exprimer "autrement" si je suis persuadé.
MAIS
Attends, je cherche une analogie.
Imagine un centre d'énergie, de présence, de conscience invisible qui donne des impulsions électriques dans des fils et dans ce réseau filaire, des capteurs d'impulsions "allument une petite LED" à chaque impulsion.
Ce "centre" est en interaction avec ce tissus de circuits, mais pas "le circuit".
Cela est la neurologie trompée qui regarde les petites LEDs.
Cette dame croit que tout cela est un tissus neuronal qui est à la source.
Cela est un tissus de mensonge.
C'est-à-dire que ce n'est pas un mensonge, mais cela n'est pas ma réalité.
C'est normal, elle est "anatomiste", cela caractérise une vision d'anatomie matière structurée en petites LEDs.
L'on pourrait dire "trop tard", elle l'est "déjà".
Pour elle, des petites lampes formant un tissu neuronal sont divisées en quatre "parties" qui fonctionnent ensemble, et non "une partie qui domine les autres". Mais persiste à croire que cela est "le tissus de circuits électriques".
Alors oui, il y a bien une interaction étroite entre ces "circuits" et l'Entité, et l'Entité est perturbée par le vécu des ces circuits, mais l'Entité n'est pas "les circuits".
Tout ce qui lui manque et qu'elle vivra, c'est l'extraction.
Pour elle je suis quasi certain que l'extraction est encore le circuit neuronal qui fait croire à l'extraction.
Mais c'est justement "sa croyance".
Ceci dit, elle est très juste, cela est aussi ce qui caractérise ces posts sur l'expérience. Sans expérience, il n'y a rien, c'est "le propre" de l'expérience.
L'un "répond" à l'autre par inclusion dans réponse, de la question de l'un à l'autre.
Daniel Balavoine chante : "La vie ne m'apprend rien"... mais cela il l'a appris.
Je dis "nous ne savons pas", hors cela est un savoir.
Sauf que le savoir n'est pas "ce que nous croyons qu'il est".
Rien ne nous trompe... hormis... "nous mêmes".
Là où je la rejoins, c'est dans le fait que si nous sommes éducateurs, il "eut fallu" que nous "ayons été éduqués" à la réalité, à la vérité, et non à notre propre mensonge
Ne sois pas choquée par ce qui suit, mais si je devais m'identifier à un réseau de circuits neuronaux, je me mets une balle dans la tête.
Nicolas Fraisse n'est pas à l'école, mais il ne fait nullement mention, à ma connaissance, de remarques provenant de son instituteur (institutrice).
Le corps n'a nullement besoin de moi... il n'est pas perceptible que je sois dedans ou pas, cela ne fait aucune différence, il est autonome _________________ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. |
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Parasamgate
Inscrit le: 27 Nov 2024 Messages: 45
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 10:54 Sujet du message: |
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Bonjour Philophile,
50 trillions de cellules qui nous permettent de choisir la joie plutôt que la tristesse, le présent plutôt que le passé. les nouvelles sont bonnes.
Bon, 4 personnages à piloter ça fait beaucoup surtout quand on a pris l'habitude du pilotage automatique. Moi j'ai 2 personnages et ça me suffit car celui qui me menait par le bout du nez n'est pas toujours prêt à négocier avec le 2e....
Ce n'est qu'une surenchère à ce que la spiritualité nous propose.
En tout cas comme Nicolas Fraisse, Jill Bolte Taylor est vraiment incarnée dans ses personnages et tous les 2 vibrent en haute fréquence.
J'aime ces invitations qui me transcendent et me libèrent des injonctions quotidiennes.
Ce sont des propositions à déconfiner le corps et l'esprit. Gratitude. |
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Philophile
Inscrit le: 07 Avr 2020 Messages: 124
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 11:12 Sujet du message: |
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Parasamgate a écrit: |
50 trillions de cellules qui nous permettent de choisir la joie plutôt que la tristesse, le présent plutôt que le passé. les nouvelles sont bonnes.
Bon, 4 personnages à piloter ça fait beaucoup surtout quand on a pris l'habitude du pilotage automatique. Moi j'ai 2 personnages et ça me suffit car celui qui me menait par le bout du nez n'est pas toujours prêt à négocier avec le 2e....
Gratitude. |
Je n'en ai trouvé que deux moi aussi, car le dominant domine, le contrôleur contrôle la totalité de ce qu'il n'est pas.
La différence entre l'anatomiste, et l'absence de l'anatomiste.
Elle le dit elle-même "cela est revenu".
Écoute bien ceci :
https://www.youtube.com/watch?v=GvwEDufa_N4
A quelqu'UN qui se prenait pour quelqu'UN, j'ai dessiné un cercle et une flèche qui partait d'un point et allait nulle part dans le cercle. Quelque part mais nulle part.
Il s'est mis à rire car la flèche il venait de la saisir, de réaliser ce mental qui venait de disparaître, l'idée de... est cette flèche.
Il a ri et ne pouvait plus s'arrêter. Il venait de perdre et venait de gagner.
Il ne trouvait plus quoi en dire, il n'y avait plus à dire, tout était déjà dit. _________________ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence.
Dernière édition par Philophile le Ma 17 Déc 2024 11:27; édité 1 fois |
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Parasamgate
Inscrit le: 27 Nov 2024 Messages: 45
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 11:23 Sujet du message: Re: La singularité |
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Philophile a écrit: | Bonjour petite luciole Parasamgate,
Voilà un exercice difficile car je suis médiocre dans la datation des événements. Cela s'est produit un peu avant mon apparition sur le forum qui s'est faite suite au vécu de ces événements
S'il n'y avait pas l'entourage, je ne saurais même pas le "jour de mon anniversaire".
Mon inscription : 07 avril 2020.
Mais les événement se sont faits durant l'été qui a précédé.
Le titre, lui, s'il s'agit de la lecture, c'est "Par delà bien et mal" publié en 1886, bien avant l'idéologie du nazisme Hitlérien. Un nazisme dont l'idéologie n'a pas d'âge, vu que l'idéologie est atemporelle.
D'après les médiums, Adolf Hitler fait partie désormais d'un conseil de grands sages.
C'est apparemment dans le détachement à l'idéologie que Nietzsche connaît le séparatisme d'un Wagner (compositeur) sous influence.
C'est apparemment dans le détachement à l'idéologie que Carl Gustav Jung connaît le séparatisme d'un Freud.
Beaucoup disent être imperméables à Nietzsche. Et Nietzsche le sait, "il ne trouve pas d'oreilles, il le dit lui-même".
Ils sont surtout dans l'idéologie de se croire dénués d'idéal auquel ils s'accrochent. Ils préfèrent déjà à l'avance, dans leur propre précédence, se refuser être tels qu'ils sont. Par convenance, par "bien pensance", pour "l'ordre nouveau" qui n'est encore et toujours qu'un idéal.
Citation: | Kairos tient à sa liberté de pensée et la défend bec et ongles, c'est en cela qu'il semble "agressif", mais je sais que Kairos est aussi d'un grand calme lorsqu'on le laisse en paix avec lui-même.
Lorsque l'humain est en paix, il érige déjà ses châteaux "forts" sachant même dans son ignorance du fait, qu'il est toujours sous le joug d'une possible menace de son "frère ennemi".
Action... réaction... c'est physique |
C'est cela la singularité, être en paix grâce à une censure impitoyable..
Oui, les expulsions du corps et la connexion à l'au-delà se font dans moult circonstances. Une femme témoigne du fait qu'elle se voit être violée par son psychologue mais ne vit pas "elle-même" l'événement. Le corps oui, mais elle est là au dessus et seul le corps "subit".
Nicolas, lui, c'est plutôt l'ennui à l'école lorsqu'il était enfant.
Nicolas aussi est persuadé qu'il en va ainsi pour tout le monde, il lui faudra le "relatif comparé" pour faire constat qu'il n'en est rien.
Kairos est un cas singulier, comme manira est un cas singulier, comme Jean-Marc est un cas singulier, ainsi chacun(e) est "un cas singulier".
Le cas singulier de l'égoïsme n'est pas facile à vivre lui non plus.
Même lorsque l'on parle de la pluie et du beau temps, ils ramènent tout à eux et se sentent perpétuellement "visés". Ils l'expriment par : "c'est pour moi que tu dis ça" ? Déjà sur la défensive, ils sont déjà sur le chemin de ronde avec leur arbalète, prêts à décocher.
Citation: | Je me trouve être penseur, cela me caractérise, pour moi il n'y a pas d'overthinking, je suis juste, juste tel que je suis. |
Mon problème est justement de ne pas être assez présente à "maintenant" alors que c'est la vraie vie. Je passe mon temps dans la compagnie de mon mental et je crée ainsi mon malheur.
Lorsqu'il y a "un nœud", une énigme, je ne trouve pas le sommeil, et il se peut que je tourne 15 jours durant autour d'une table sans le réaliser. Pour moi, il y a 5 minutes, pour mon entourage, 15 jours.
Mais il me faudra "résoudre" l'énigme, dénouer le nœud avant de trouver le repos.
Dans cette lecture de Nietzsche "je me suis reconnu", comme une paréidolie d'une singularité, d'une unicité.
Il y a des opposants, des conformistes, des collaborateurs, des idéalistes, des activistes, des pouvoirs et contre-pouvoirs.
Pouvoir et contre-pouvoir reste et demeure "pouvoir". Révolution française pour faire la même chose par contre pouvoir réactionnaire, action et réaction de force égale.
On coupe des têtes pour en mettre d'autres déjà corrompues.
Ce qui est parti et semble laisser un espace vide, c'est ce qui a été balayé, oublié, celui que je ne suis pas et qui est tout ce que l'on m'a dit, un mensonge involontaire, mais un mensonge car non en concordance.
Il est dit "admettre ce qui Est", mais cela peut tout autant être "ne plus admettre ce qui n'Est pas".
Je suis plutôt, disons, participatif.
Ils veulent se prendre le mur et exigent que j'y participe ?
J'amplifie le mouvement par exagération de leurs sottises, j'y ajoute la pulsion, le "moteur qui propulse donnant encore plus d'élan et d'énergie".
L'on me dit "vicieux" pour cela.
Mes élèves pilotes, je les laissais faire la faute, je n'intervenais que juste avant cet instant auquel il serait trop tard pour rattraper. Au-delà de cette limite, nous serions blessés voire morts.
Mais il est une chose qui s'est toujours démontrée, jamais plus ils ne faisaient cette faute par la suite. Ils sont tombés, ils se sont relevés, ils ont repris la route et y sont arrivés, là où ils voulaient arriver.
Contrairement à mes collègues, je ne criais jamais sur mes élèves. Inutile.
Ils apprenaient par eux-mêmes et m'en ont toujours remercié.
Il s'agit de LEUR expérience qui se construit petit à petit.
Ils apprenaient à se connaître, à connaître les limites, à connaître leurs limites. A connaître la beauté du vol de l'oiseau, la liberté tridimensionnelle au milieu des nuages, comme ils ont appris à marcher.
Ne rien interdire, ne rien forcer, laisser faire.
Je ne connais aucun incapable, il suffit de les laisser faire leur propre apprentissage. Mais pour cela, il faut vivre des expériences, et aussi l'expérience du fait même de le vivre. La vie est une formidable expérience (et là je pleure, car pleurer est une expérience nouvelle pour moi, cela m'était interdit, comme le rire).
Lorsque mes collègues me disaient : "celui-là (celle-là), sans espoir, il (elle) est mieux fait(e) pour aller à la pêche".
Voilà un cas pour moi pensais-je. Justement, c'est l'occasion de la "repêche".
Bien souvent ils appliquaient des réflexes inculqués par leur instructeur en "théorie". Des "il faut faire ceci, il faut faire cela".
NON, non, et non.
Alors on reprenait ensemble depuis le début, et tout à coup, ils se réalisaient, ce sont eux (elles) qui se construisaient. C'était si beau à contempler de les voir s'épanouir.
Je n'avais RIEN à leur apprendre, je n'ai rien à vous apprendre.
Tout devenait spontané, inné, tout était déjà là en eux, ils étaient leur instructeur et leur élève disciple d'eux-même. Citation: | Je leur faisait jouer à "Top gun" : "vas-y, suis la cible, l'autre planeur là et ne le lâche pas. Ils ne se rendaient même pas compte combien leur vol devenait naturel et simplement parfait, ils apprenaient sans "avoir à" apprendre. |
Attention dans l'intention...
Alors tout à coup je leur disait : "alors, qu'en penses-tu, de ton toi instructeur ?"
Ils me répondaient : "c'est le meilleur, l'élève a tout compris".
Ils devenaient "le meilleur d'eux-même", des vrais petits Nietzsche en puissance, dans l'application même de tout ce que dit Nietzsche.
Citation: | "La puissance de l'intention"... de Nietzsche.
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L'attention dans l'intention, je n'ai pas lu Nietzsche mais je confirme que tout est là. Quand j'ai décidé que je ne serais plus sous l'emprise de mon setter c'était pas du pipeau... J'ai dû me transformer moi-même (c'était nécessaire) et ça a complètement modifié notre relation.
Aussi, petite luciole... envole-toi. |
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Jean-Yves
Inscrit le: 11 Oct 2007 Messages: 197 Localisation: Var
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 12:07 Sujet du message: |
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Bonjour, je ne sais pas qui a écrit cela, mais peu importe...
Citation: | Mon problème est justement de ne pas être assez présente à "maintenant" alors que c'est la vraie vie. Je passe mon temps dans la compagnie de mon mental et je crée ainsi mon malheur. |
A mon sens, la réponse c'est qu'il n'y a pas de problème... et que justement cela ne devient un problème que si on le considère comme tel...
Le mental tourne... ok... on peut le laisser tourner... car à plus on essaye de l'arrêter, à plus il tourne vite...
J'ai déjà vécu ça dans le passé... Je me souviens que mon mental tournait à toute vitesse... Et tout d'un coup, il y a eu une dimension plus profonde en moi qui s'est révélée et qui a montré que fondamentalement : "je ne suis pas le mental", pas plus que je ne suis le corps...
Lorsque le mental tourne, ça correspond vraisemblablement à un besoin physiologique. Une élimination de tension... Il n'y a, à mon sens, pas lieu de voir en cela quelque chose d'anormal. Le laisser faire... Mais bon, c'est mon point de vue... |
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Philophile
Inscrit le: 07 Avr 2020 Messages: 124
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 13:29 Sujet du message: |
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Il n'est pas "nécessaire" de lire Nietzsche
Cela était nécessaire pour moi par un besoin de me prouver que ce que l'on m'avait dit était faux.
35 années durant lesquelles j'ai cherché à "me" prouver. A faire démonstration à celui qui m'a dit : "tu ne comprendras jamais rien, tu es un bon à rien". Très très bon... mais à rien.
Chanteur : ok, checked
Danseur : ok, checked
Taï-chi : ok, checked
Peintre : ok, checked
Dessinateur : ok, checked
Musicien : ok, checked
Aviateur : ok, checked
Instructeur : ok, checked
Sciences : ok, checked
Informatique : ok, checked
Menuiserie : ok, checked
Électricien : ok, checked
....
Maintenant c'est lui qui me pose des questions, c'est lui qui me demande pour réparer son ordinateur, c'est lui qui fait démonstration d'incompréhension du trou noir : "encore une invention des scientifiques... cela n'existe pas, ils les inventent".
Jamais il lui sera dit : "tu ne comprends pas". Il le dit lui même.
Il a ses connaissances et ses expériences, mais dès que l'on franchit ses limites, alors il les invente.
Autant d'expériences expérimentées pour "me" prouver.
D'un autre côté, toutes ces expériences ont été un enrichissement: avoir expérimenté.
Même lorsque l'on ne fait rien... expérience.
Vie : expérience
Mort : expérience. Expérience de mort imminente ? Non, il n'y a aucune imminence là dedans , juste une continuité.
Il y a tant d'expériences potentielles qu'une vie ne saurait suffire.
Si tu savais tout ce que je ne sais pas. Pffff...
Alors à nous deux nous saurions la totalité.
L'imaginaire : quel outil formidable de préconception avant concrétisation.
J'ai appris la fragilité et ce qui est précieux par ce tout petit chien minuscule. Il me suffirait de presser la main pour lui briser les côtes.
J'entends bien ce rapport avec ton chien, vous vous comprenez n'est-ce pas ? Il y a là une relation dans laquelle il n'y a ni dominant ni soumis. Tu n'est donc plus soumise à ta dominance.
Tu es une seule et même dans la réalisation.
... larmes et rires...
pfffff....
"je"... n'en revient pas, n'en revient plus.
Une indescriptible harmonie
Les enquêteurs du paranormal, du mystère, de l'inexpliqué.
Une seule question : qu'y-a-t-il de paranormal là dedans, si ce n'est notre normalité ?
Cela rejoint notre Dr Jill Bolte Taylor il me semble _________________ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. |
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Parasamgate
Inscrit le: 27 Nov 2024 Messages: 45
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 15:50 Sujet du message: |
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Jean-Yves a écrit: | Bonjour, je ne sais pas qui a écrit cela, mais peu importe...
Citation: | Mon problème est justement de ne pas être assez présente à "maintenant" alors que c'est la vraie vie. Je passe mon temps dans la compagnie de mon mental et je crée ainsi mon malheur. |
A mon sens, la réponse c'est qu'il n'y a pas de problème... et que justement cela ne devient un problème que si on le considère comme tel...
Le mental tourne... ok... on peut le laisser tourner... car à plus on essaye de l'arrêter, à plus il tourne vite...
J'ai déjà vécu ça dans le passé... Je me souviens que mon mental tournait à toute vitesse... Et tout d'un coup, il y a eu une dimension plus profonde en moi qui s'est révélée et qui a montré que fondamentalement : "je ne suis pas le mental", pas plus que je ne suis le corps...
Lorsque le mental tourne, ça correspond vraisemblablement à un besoin physiologique. Une élimination de tension... Il n'y a, à mon sens, pas lieu de voir en cela quelque chose d'anormal. Le laisser faire... Mais bon, c'est mon point de vue... |
Bonjour Jean-Yves,
En effet j'ai fait quelques tentatives malheureuses, désolée, je ne le ferai plus.
merci de me donner de l'espoir.
Si j'étais Jill Bolte Taylor je pourrais changer de personnage à volonté car elle prétend que ça change la vie.
J'ai beau savoir qu'on ne doit pas résister mais accueillir, c'est toujours le pilote automatique qui prend le gouvernail.
Il n'y a que dans la nature que ma dimension profonde se révèle et là je suis totalement présente grâce à l'attention.
La capacité d'attention est quelque chose de subjectif et donc expérimenter la vie d'ermite serait peut-être une solution? vivre en petite culotte comme Ramana? |
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Parasamgate
Inscrit le: 27 Nov 2024 Messages: 45
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 16:05 Sujet du message: |
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Philophile a écrit: | Il n'est pas "nécessaire" de lire Nietzsche
Cela était nécessaire pour moi par un besoin de me prouver que ce que l'on m'avait dit était faux.
35 années durant lesquelles j'ai cherché à "me" prouver. A faire démonstration à celui qui m'a dit : "tu ne comprendras jamais rien, tu es un bon à rien". Très très bon... mais à rien.
Chanteur : ok, checked
Danseur : ok, checked
Taï-chi : ok, checked
Peintre : ok, checked
Dessinateur : ok, checked
Musicien : ok, checked
Aviateur : ok, checked
Instructeur : ok, checked
Sciences : ok, checked
Informatique : ok, checked
Menuiserie : ok, checked
Électricien : ok, checked
....
Maintenant c'est lui qui me pose des questions, c'est lui qui me demande pour réparer son ordinateur, c'est lui qui fait démonstration d'incompréhension du trou noir : "encore une invention des scientifiques... cela n'existe pas, ils les inventent".
Jamais il lui sera dit : "tu ne comprends pas". Il le dit lui même.
Il a ses connaissances et ses expériences, mais dès que l'on franchit ses limites, alors il les invente.
Autant d'expériences expérimentées pour "me" prouver.
D'un autre côté, toutes ces expériences ont été un enrichissement: avoir expérimenté.
Même lorsque l'on ne fait rien... expérience.
Vie : expérience
Mort : expérience. Expérience de mort imminente ? Non, il n'y a aucune imminence là dedans , juste une continuité.
Il y a tant d'expériences potentielles qu'une vie ne saurait suffire.
Si tu savais tout ce que je ne sais pas. Pffff...
Alors à nous deux nous saurions la totalité.
L'imaginaire : quel outil formidable de préconception avant concrétisation.
J'ai appris la fragilité et ce qui est précieux par ce tout petit chien minuscule. Il me suffirait de presser la main pour lui briser les côtes.
J'entends bien ce rapport avec ton chien, vous vous comprenez n'est-ce pas ? Il y a là une relation dans laquelle il n'y a ni dominant ni soumis. Tu n'est donc plus soumise à ta dominance.
Tu es une seule et même dans la réalisation.
... larmes et rires...
pfffff....
"je"... n'en revient pas, n'en revient plus.
Une indescriptible harmonie
Les enquêteurs du paranormal, du mystère, de l'inexpliqué.
Une seule question : qu'y-a-t-il de paranormal là dedans, si ce n'est notre normalité ?
Cela rejoint notre Dr Jill Bolte Taylor il me semble |
Bonjour Philophile,
comment s'affirmer sans être agressif? voici un lien:
https://youtu.be/Z3gUNYhGR3U?si=H4CJyhuxCIRcyxQA
namasté. |
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manira
Inscrit le: 05 Août 2012 Messages: 2665
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 19:00 Sujet du message: |
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Parasamgate a écrit: |
J'ai beau savoir qu'on ne doit pas résister mais accueillir, c'est toujours le pilote automatique qui prend le gouvernail.
Il n'y a que dans la nature que ma dimension profonde se révèle et là je suis totalement présente grâce à l'attention.
La capacité d'attention est quelque chose de subjectif et donc expérimenter la vie d'ermite serait peut-être une solution? vivre en petite culotte comme Ramana? |
Bonjour Parasamgate ,
Dans cette attention vivante à l’instant , je crois qu’il n’y plus le temps à prouver, aux autres et ou à soi- même ,
quelque chose qui soit .
C’est ce que m’inspire
Ramana
Qui hermite , ou entouré de nature , d’animaux , de personnes …
ou pas .
Mais , il y avait bien « l’objet « d’une montagne qui ..au loin … le rappelait .
———-
Jane Birkin se faisant demander comment elle pensait que les hommes la regardait , un jour repondit :
Comme j’ai des talons hauts , ils me regardent très bas …
Ramana était pieds nus . |
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Parasamgate
Inscrit le: 27 Nov 2024 Messages: 45
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Posté le: Ma 17 Déc 2024 19:23 Sujet du message: |
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manira a écrit: | Parasamgate a écrit: |
J'ai beau savoir qu'on ne doit pas résister mais accueillir, c'est toujours le pilote automatique qui prend le gouvernail.
Il n'y a que dans la nature que ma dimension profonde se révèle et là je suis totalement présente grâce à l'attention.
La capacité d'attention est quelque chose de subjectif et donc expérimenter la vie d'ermite serait peut-être une solution? vivre en petite culotte comme Ramana? |
Bonjour Parasamgate ,
Dans cette attention vivante à l’instant , je crois qu’il n’y plus le temps à prouver, aux autres et ou à soi- même ,
quelque chose qui soit .
C’est ce que m’inspire
Ramana
Qui hermite , ou entouré de nature , d’animaux , de personnes …
ou pas .
Mais , il y avait bien « l’objet « d’une montagne qui ..au loin … le rappelait .
———-
Jane Birkin se faisant demander comment elle pensait que les hommes la regardait , un jour repondit :
Comme j’ai des talons hauts , ils me regardent très bas …
Ramana était pieds nus . |
oui il y a la montagne... j'ai essayé avec mon setter mais il fait trop de bêtises, il me déconcentre.
Je vais plutôt me concentrer sur les orties je crois, car il y en a partout.
Namasté. |
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Philophile
Inscrit le: 07 Avr 2020 Messages: 124
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Posté le: Me 18 Déc 2024 9:41 Sujet du message: |
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manira a écrit: |
Dans cette attention vivante à l’instant , je crois qu’il n’y plus le temps à prouver, aux autres et ou à soi- même ,
quelque chose qui soit .
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Bonjour manira
Exact, qu'y aurait-il à prouver et comment prouver si ce n'est que le fait que ce soit déjà.
Ces défis se sont imposés d'eux-mêmes par contra-diction, juste révéler que chacun peut se tromper, ne pas être en adéquation avec la vérité.
A la manière dont il est dit qu'une femme dans un monde très masculin aurait à "faire ses preuves".
Alors que ces hommes n'auraient pas à assumer leurs éventuelles incapacités. Quelle étroitesse caractérisée
Les "séparations".
La vérification, s'il en était "besoin", que le monde est à l'image des esprits qui le font.
Parasamgate a écrit: |
J'ai beau savoir qu'on ne doit pas résister mais accueillir, c'est toujours le pilote automatique qui prend le gouvernail.
Il n'y a que dans la nature que ma dimension profonde se révèle et là je suis totalement présente grâce à l'attention.
La capacité d'attention est quelque chose de subjectif et donc expérimenter la vie d'ermite serait peut-être une solution? vivre en petite culotte comme Ramana? |
Bonjour Parasamgate,
Là où je vis, il y a bien plus de liberté à l'intérieur qu'à l'extérieur
Comme la paix...
Il m'est arrivé de marcher pieds nus, quelques heures plus tard je me faisais recoudre le pied à l'hôpital (débris de verre). Résultat, nerf du gros orteil sectionné et une certaine perte dans l'équilibre par insensibilité.
Voilà le littoral belge, la barre de béton :
De ci de là il reste quelques petites zones préservées... réservées... interdites d'accès.
Lorsque je regarde ce ciel d'un bleu "profond", très profond, si profond, le comparatif entre la liberté de l'oiseau, du poisson dans l'océan, et des humains... _________________ Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. |
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Parasamgate
Inscrit le: 27 Nov 2024 Messages: 45
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Posté le: Me 18 Déc 2024 11:35 Sujet du message: |
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Bonjour à tous et à Philophile,
j'ai pris le temps de regarder la vidéo de Mooji (le rire du buddha) et cela
m'a bien décontenancée.... J'ai trouvé d'autres vidéos sur le rire et donc je mets ce lien avec une personne qui est vraiment touchée par la grâce et les gens autour participent.
https://youtu.be/d96JiscEGh4?si=RhT0Obg6YQ_WuUpi
Selon Mooji nous devrions appréhender tous les évènements à partir de cette dimension profonde de tout notre coeur, de toute notre âme. En fait c'est cela le retournement, voir aussi la dimension intérieure qui est paisible, joyeuse, notre vraie nature que l'on a reconnue puisque nous ne sommes personne, que tout n'est que fake, le jeu de la Vie.
C'est un vrai challenge.. et pour y arriver on peut s'appuyer sur une montagne, des pieds nus mais pas n'importe où, des orties etc....
Namasté. |
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daniel
Inscrit le: 15 Fév 2006 Messages: 9716 Localisation: belgique
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Posté le: Me 18 Déc 2024 11:46 Sujet du message: |
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Et oui, ça vient quand on se rend compte que tout est dérisoire |
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