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Regards sur l'éveil Café philosophique, littéraire et scientifique
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Jean-Marie
Inscrit le: 23 Oct 2006 Messages: 465 Localisation: Arlon - Belgique
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Posté le: Di 19 Nov 2006 16:06 Sujet du message: |
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Le plus mystérieux dans toute cette histoire, c'est que ce n'est pas la Cananéenne qui est à guérir mais c'est sa fille qui est possédée par un démon. _________________ Jean-Marie |
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Invité
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Posté le: Di 19 Nov 2006 16:13 Sujet du message: |
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Pour ce qui concerne la révélation vétéro-testamentaire (qui ne correspond pas à un temps de la révélation mais à un niveau de profondeur) le peuple Juif est bel et bien ELU préférentiellement par Dieu qui lui donne sur les nations environnantes la PREFERENCE (CF les fléaux d'Egypte) en expliquant que de tous les peuples, celui-là était le plus pauvre et que c'est là la raison de son élection. (Dieu choisit les petits et les faibles, les simples au lieu des grands, forts et intelligents...) On appelle le juste un "tsaddik", et le héros fort de type Nemrodique le "Gibbor". dieu préfère le juste Tsadddik au puissant héros.
Dans la révélation néo-testamentaire, ce choix n'est plus seulement orienté vers une communauté comme les Hebreux, mais s'adresse à des individus de toutes les communautés desquels la petitesse (humilité) la pauvreté (reconnaissance d'une insuffisance foncière) et la foi (faire confiance) sont requis pour entrer dans une relation vivante et effective avec le dieu vivant. |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Di 19 Nov 2006 16:17 Sujet du message: |
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Zut. A chaque fois je passe par mon mail et me retrouve comme invité...Ca m'énerve...
Je voulais ajouter que Jesus lui-même est Juif et que Paul dira que les Juifs sont l'olivier franc et des autres qu'ils ont été gréffés sur cet olivier. Jesus dit à la Samaritaine : "Le salut vient des Juifs".
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:54; édité 1 fois |
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invité Invité
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Posté le: Di 19 Nov 2006 20:58 Sujet du message: |
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effacez, effacez...
cela fait des muscles |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Di 19 Nov 2006 21:33 Sujet du message: |
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"Passe oiseau passe et apprends-moi à passer". Fernando Pessoa.
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:54; édité 1 fois |
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joaquim Administrateur
Inscrit le: 06 Août 2004 Messages: 1421 Localisation: Suisse
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 21:54 Sujet du message: |
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Jean-Marie a écrit: | Le plus mystérieux dans toute cette histoire, c'est que ce n'est pas la Cananéenne qui est à guérir mais c'est sa fille qui est possédée par un démon. |
C’est comme la parole du centurion romain: “Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et mon enfant sera guéri.” (Mt.8:8). Cette phrase de l’Evangile a été reprise par l'Eglise catholique au centre de la liturgie eucharistique, au moment de la consécration, mais modifiée ainsi: “Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serai guéri.”
Le Christ, ce n’est pas seulement celui dont parlent les Ecritures. C’est le Ressuscité, dont le corps est constituée de l’assemblée des croyants: l’Eglise, corps mystique du Christ. Pour moi — et je suis bien conscient d’exprimer là une opinion qui n’est pas celle l’Eglise — le Christ tel qu'il se manifeste aujourd'hui aux convertis n’aurait pas eu d’existence tangible si l’Eglise n’était pas née, c’est-à-dire si n’avaient pas existé durant tous les siècles jusqu’à aujourd’hui ces hommes et ces femmes qui ont communié ensemble dans la même foi en le Ressuscité. Les croyants n’ont pas passivement accepté la foi, comme on reconnaîtrait une vérité existant dans l’absolu; ils ont donné un corps vivant au Christ en qui ils croyaient; sans leur foi, le Ressuscité serait resté auprès du Père d’où tout émane. Par leur foi, les croyants depuis des siècles donnent au Christ un corps, un corps mystique, parce qu'ils reconnaissent, comme St-Paul: “Non pas moi, mais Christ en moi”.
C’est une vision personnelle, qui s’éloigne quelque peu de celle que prônent les églises établies, car pour celles-ci, la question de savoir ce qui serait advenu de l’Eglise si le christianisme n’avait pas connu le succès que l’on sait ne se pose pas. Elles voient dans la réalité historique du Christ un événement qui transcende le monde. Elles ne sauraient d’ailleurs faire autrement, car elle s’originent dans cet événement, et nul ne peut penser l’absence de sa propre origine. L’origine de leur existence se situe dans la vie et la mort du Christ. Imaginer que le Christ ne soit qu’un événement accidentel dans le cours de l’histoire serait pour elles comme pour nous d’imaginer que l’apparition de nos ancêtres humains sur la terre pût ne pas avoir eu lieu. Bien sûr, on peut le faire abstraitement. Mais, lorsqu’on y réfléchit plus profondément, ce monde abstrait, à l’intérieur duquel se pose la question de la non-existence possible de l’humanité, n’existe lui-même que parce que ces ancêtres sont bel et bien apparus. On se heurte à un paradoxe têtu. Le même paradoxe que celui dans lequel chacun tombe lorsqu’il réfléchit à sa propre naissance. Les conditions qui ont prévalu pour qu’apparaisse cet être que je nomme “moi” reposent sur un concours de circonstances si hasardeux que les probabilités ne donnaient qu’une chance infime que ce “moi” précis advint. Et pourtant, je ne peux faire autrement que lui accorder une réalité absolue, indépendante de tout hasard, car sans lui, rien n’existerait. Rien de tout ce monde qui est devant moi.
Je crois qu’on touche là un point central, le mystère du “moi”, si fragile, si vulnérable en apparence, et pourtant si nécessaire. Pour la cohérence de la pensée, il serait bien plus commode de le considérer comme éternel. Tout se tiendrait alors. Mais on rechigne à se considérer comme éternel, car on sait qu’on va mourir. On ne le sait pas “en soi”, mais on le sait à l’intérieur de l’image que l’on se fait du monde. Dans le monde qui s'offre à moi, je vais un jour disparaître. Chacun qui s'éveille au monde prend un jour conscience de cette tragique certitude. Et on sait aussi que d’autres existent, semblables à soi, qui continueront d’exister, et “leur” monde avec eux, lorsqu'on aura soi-même disparu. Si mon moi est écartelé ainsi entre une exigence d’éternité et une condamnation à l’éphémère, ce n'est pas par une quelconque fatalité absolue, mais c’est simplement parce qu’il est paresseux, parce qu’il dort. Parce qu’il croit être un monde, et qu’il se comporte en fait comme une plaque photographique. Il ne sait pas qui il est. S’il s’éveillait, il verrait qu’il est Je Suis. Qu’il est éternel. Et que les autres “moi” ne sont pas d’autres mondes, mais qu’ils sont un en “Je Suis”. “Non pas moi, mais Christ en moi”. C’est ainsi que je partage la foi chrétienne. |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:06 Sujet du message: |
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Ca me renvoie à une pensée de jean-claude renard : "Sans la mort et les questions qu'elle soulève, nous aurions l'impression de vivre pour rien".
La question que je me pose, c'est le retour à "l'impersonnalité" de l'Etre. Je mourrais plus de ce que je perdrais ma personnalité, que de ce que je perdrais la vie du corps, me semble t-il.
Ne peut-on envisager une continuation de la personnalité malgré la cessation d'activité du corps ? Ou est-ce que le corps serait le garant, le vecteur de la personnalité (?) dont la cessation d'activité entrainerait un retour à l'indifférencié ? Etre, est extrêmement abstrait : une pierre "est" ...Etonnante assertion. Ainsi ce qui meurt ferait l'identité de ce qui dure ?
Mais ce qui fait l'être d'un homme c'est précisément son humanité, n'est ce pas ? Pourquoi la mort la lui ferait-elle perdre ?
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:54; édité 2 fois |
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joaquim Administrateur
Inscrit le: 06 Août 2004 Messages: 1421 Localisation: Suisse
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:08 Sujet du message: |
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Qui parle d'impersonnalité? Pour ma part, j'ai parlé de "je" et de "Je Suis". Pas franchement impersonnel... |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:24 Sujet du message: |
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Un "je suis" qui serait commun à tous serait un déni de personnalité. C'est le but que se propose des personnes comme Staline pour qui les autres ne sont que des extensions de leur moi. Mais le "Je suis" vétéro-testamentaire
a bénéficié d'éclaircissements ultérieurs qui permettent d'esperer que non seulement le "je suis" (qui est ce "je" ?) apporte une vie, mais que la personnalité de CHACUN soit conservée, respectée, et plus LIBEREE de l'emprise de la mortalité et des innombrables plis psychologiques qu'elle suppose. je suis un ardent défenseur de la personnalité et du respect que "je suis" lui porte en tant qu'individu unique et...éternel comme tel. Je me souviens de la phrase de Goethe : "le trésor des enfants de la terre est la personnalité".
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:55; édité 1 fois |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:32 Sujet du message: |
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Au-delà de ces points, j'aimerais savoir; pour vous, cette paresse et ce sommeil dont vous parlez, comment en sort-on ? Oserais-je le dire... je ne suis pas sûr que tout le monde soit "je suis", qui est le nom innefable Biblique....Pour moi en tout cas, ça voudrait dire que tout le monde est au moins potentiellement Dieu et qu'il suffit de s'en "souvenir", de s'éveiller à la conscience de ce fait. Mais tout ce qui vit est-il Dieu ? Est-ce en tant que participant de "Je suis" que l'assassin tue ? N'y a t"il pas là, dans cette option du "tout-dieu" ou du "tout je suis" une neutralité morale incompatible avec la liberté propre aux hommes ? Vous voyez où je veux en venir, je n'insisterai donc pas lourdement.
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:55; édité 2 fois |
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joaquim Administrateur
Inscrit le: 06 Août 2004 Messages: 1421 Localisation: Suisse
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:35 Sujet du message: |
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Vous réfléchissez “je suis” dans l’espace linéraire de la pensée. «Un "je suis" qui serait commun à tous serait un déni de personnalité», dites-vous. Il se trouve que celui qui se fait cette réflexion, c’est “je suis”, mais il ne le réalise pas, tout occupé qu’il est à penser. Il se braque sur l’objet de sa pensée (en l’occurrence penser le “je suis”), et n’est dès lors plus que cette plaque photographique dont j’ai parlé. S’éveiller, c’est réaliser que “je suis”, moi, singulier, consubstantiel à l’être qui englobe tout. On l’exprime nécessairement avec les mots de la dualité, mais c’est quelque chose qui se trouve au-delà de toute dualité, de toute opposition singulier/universel. Je n’ai malheureusement pas votre verve pour exprimer son débordement hors de tout cadre possible.
khoan a écrit: | Au-delà de ces points, j'aimerais savoir; pour vous, cette paresse et ce sommeil dont vous parlez, comment en sort-on ? |
On ne peut sortir de son sommeil que par une main qui nous en tire, qui vient d'au-delà, et qu'on nomme la grâce. |
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ponkhâ
Inscrit le: 09 Nov 2005 Messages: 267 Localisation: Suisse
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:38 Sujet du message: |
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joaquim a écrit: | Il ne sait pas qui il est. S’il s’éveillait, il verrait qu’il est Je Suis. Qu’il est éternel. Et que les autres “moi” ne sont pas d’autres mondes, mais qu’ils sont un en “Je Suis”. “Non pas moi, mais Christ en moi”. C’est ainsi que je partage la foi chrétienne. |
C'est ce que t'es mots me font resurgir :
"Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi "
(Jean 14.6)
Si je peux dire, je ne conçois pas d'autre voie d'accès |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:41 Sujet du message: |
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Et que faut-il pour que la grâce se manifeste ? Quelle est la condition de sa manifestation ?
(Ps vous écrivez si vite tous les deux que ça s'entrechoque ! D'une certaine manière, c'est génial !)
Par contre , je vous assure que c'est "je suis " qui vous pose la question...
Et que dormant, vous me répondez à moi !
Je vous taquine. Mais comment "je suis "peut-il se leurrer lui-même en pensant, en se focalisant sur la question de ce qu'est "je suis" ? Si "je suis" pose la question, et que "je suis" y répond, objectivement ni question ni réponse n'existe, mais un jeu interne au "je suis" pour lequel je ne suis qu'un somnambule agité dans le sommeil de ses illusions nocturnes...Une espèce d'absence au coeur même de la présence...Qui serait donc endormi à lui-même, içi ou là, en réalité rendu ainsi incapable d'omniscience et même de se connaître lui-même. Car si un "je suis" qui s'ignore pose la question de son être au même "je suis" qui par ailleurs est éveillé, on s'y perd un peu...D'où ma réticence au concept d'unité...Et je sais très bien que c'est là le point nodal et l'endroit où placer le levier. Vous annulez la Trinité, tout simplement, n'est-ce pas ?
Car je crois que c'est bien là que le bât blesse. Dans cette idée que l'altérité est illusoire, qu'il faut arrêter de croire, de s'illusionner sur le moi et le soi pour se trouver soudain plongé dans un "je suis" qui a toujours été là, que nous toujours endormis, avions ignoré.
Mais si vous utilisez un vocabulaire d'apparence Biblique, les concepts que vous manipulez en sont je crois une négation criante.
D'abord, aucun "éveil" n'apporte le Royaume de DIEU. Car ce royaume pour être conquis demande la connaissance expériencielle de quelques mots de passe, tels que jugement, péché, repentir, Trinité, et conversion...
Rien que ça. Notez que je ne vous le reproche pas, mais que pour ce qui est de moi, je préfère être SAUVE plutôt qu'éveillé, et j'ai pour cela besoin d'un Sauveur, dont le péché m'éloigne, et non un "sommeil". Je n'ai pas besoin d'être éveillé, mais pardonné. Nous sommes vous le voyez très éloignés, même si les emprunts de vocabulaire peuvent faire illusion. On a bien vu des gens de droite en France affirmer que les salariés qui demandent une augmentation de salaire sont des asociaux, empruntant ainsi le vocabulaire de la gauche...
Içi encore, je peux tout à fait être dans l'erreur et vous avoir mal compris, mais ce peut être aussi le cas d'autres personnes içi, alors détrompez-moi en me donnant, si vous voulez, votre point de vue sur le contenu des cinq mots notés plus haut.
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:55; édité 4 fois |
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ponkhâ
Inscrit le: 09 Nov 2005 Messages: 267 Localisation: Suisse
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:48 Sujet du message: |
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khoan a écrit: | Et que faut-il pour que la grâce se manifeste ? Quelle est la condition de sa manifestation ? |
Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir; mais dis seulement une parole et je serai guéri
L'humilité |
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khoan
Inscrit le: 29 Sep 2006 Messages: 356
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Posté le: Ma 21 Nov 2006 22:57 Sujet du message: |
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pardon ponkha de ne pas aller assez vite pour vous répondre en temps réèl...Mais rassurez-vous, je vous lis !
Dernière édition par khoan le Di 26 Nov 2006 14:56; édité 1 fois |
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